Marie-Noëlle Morice

Cet hommage n'est visible que par la famille

Marino, tu vivras toujours dans nos souvenirs de ces merveilleux moments passés ensemble autour d'une table, une balade à Lille ou quand tu nous as fait découvrir et partagé l'amour que tu as pour ta région . Tous tes élèves emportent un petit bout de toi avec eux. On t'aime fort. On pense fort à vous Onnen et Maëlig.

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Maëlig et Onenn! Rencontrée à l’école Diderot de Lille, Marie- Noëlle est vite devenue une amie fidèle de notre famille. Les garçons adoraient quand nous allions fêter son anniversaire ou le nouvel an chez Marino. Elle était aux petits soins pour eux. Nikolaï se souvient encore de la petite fontaine dont l’eau s’écoulait sans cesse. Roman admirait les petites oies, et tous les petits bibelots……. De bons moments passés ensemble avec Babeth et sa famille. Vassili appréciait toujours ton accueil chaleureux. Tu étais vraie et entière. Vassili et moi avions revu Marino dans sa maison plein de charme au bord de la forêt à l’occasion d’un retour de vacances en Bretagne et sur la route du mont Saint Michel, en novembre 2020. Une toute petite journée passée autour d’un délicieux poulet excellemment cuisiné…. C’était la dernière fois que l’on te voyait, Marino, heureuse, pleine de vie, racontant tes engagements. Je me souviens de nos points communs : la passion pour la photo, l’amour pour notre métier et la bienveillance envers les élèves. Marino, parler de toi au passé c’est insensé et tellement cruel. Mais tu es partie, entourée de l’amour de tes filles. Nous vous remercions pour cela, Maëlig et Onenn. Tu restes à jamais dans nos cœurs. Soyez assurées de notre affection et de notre amitié. Cécile, Vassili, Roman et Nikolaï STETSENKO

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Te voilà en route sur les chemins des écoliers, pareils à ceux que tu as toujours pris avec curiosité, bonheur, courage, voire obstination. Je t'imagine parcourir d'autres mondes, installer ta tente et faire une petite halte dans un coin de nature comme tu les aimais tant, aller à la rencontre d'autres gens, lier conversation, t'indigner encore. Tu nous laisses démunis mais tellement riches de bons et beaux moments !!! Il nous reste, à la manière d'un poème de Paul Eluard, "Les mots qui font vivre" et qui te correspondent si bien ! Il nous reste des souvenirs à partager avec tous ceux qui t'aiment et continuer ainsi à te garder vivante dans nos cœurs. Babeth, Christian, Camille et Théophile.

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